
Mme Jacqueline Botteron, Chandolin
-
Le calme après une semaine trépidante. A Chandolin, il n’y a aucun bruit la nuit si ce n’est le vent dans les arbres et la pluie en cas de mauvais temps. La journée, ce sont les chants des oiseaux que l’on entend;
-
Les paysages qui se renouvellent à chaque saison. Je me surprends à attendre avec impatience la fonte des neiges et l’apparition des bourgeons au printemps, l’arrivée des fleurs en été, le changement des couleurs en automne et l’arrivée des premières neiges en hiver;
-
La multitude de sentiers de randonnée qui nous permet d’avoir l’impression de toujours se balader ailleurs;
-
Ce bel accent valaisan des autochtones, tellement chantant;
-
Et pour finir, l’impression de passer une semaine de vacances en un seul week-end.

Une de nos membres, Grimentz
-
Manger la tarte aux myrtilles à l’Hôtel Weisshorn après une montée à VTT ou à peaux de phoque
-
Redécouvrir à chaque balade une fleur alpine spéciale
-
Retrouver mes amis skieurs au marché des artisans
-
S’arrêter à l’Ilot Bosquet, boire l’eau fraîche de sa fontaine
-
Le barrage de Moiry pour la couleur du lac toujours aussi saisissante
-
Les levers de soleil très orangés sur le col de la Forclettaz
-
Rentrer de nuit et contempler les étoiles
-
Entendre le brâme du cerf annonçant l’automne
-
Grimper au Ponchet pour admirer les vieux mélèzes dorés.

Susanne, Ayer
Anniviers… les pistes, celles qui sont au soleil du matin, celles qui sont au soleil du soir, les pistes raides et celles pour les débutants. Mais il y a autre chose encore, le fond de la vallée de Zinal, le Plat de la Lée, un alpage, plat comme son nom l’indique, avec un chemin qui en fait le tour. On y a appris à faire du vélo ; on flâne voir les libellules sur les lacs ; les vaches noires broutent au bord de la Navizence.
Au loin, la vallée s’ouvre sur Zinal.